Produire, c’est bien, créer de la valeur, c’est mieux !
Immatérielles, les données vont et viennent autour de nous, à partir de nous, vers nous. Souvent libres, elles ne se laissent pas séduire aisément.
Acquérir, stocker, partager, analyser et traiter doivent constituer l’activité principale journalière des entreprises. De la structuration ainsi créée naît la valorisation. La tâche n’est pas simple.
Selon le Gartner Group, les entreprises ont toujours éprouvé de la difficulté à structurer les données acquises pour en tirer de la valeur, une problématique commune à 80 % de celles-ci.
Ces données, bien involontairement « tablettées », faute des limites des infrastructures informatiques traditionnelles, ne font qu’occuper de l’espace de stockage qui pourrait être utilisé à meilleur escient.
Le climat concurrentiel actuel n’autorise plus de les laisser dans leur état d’acquisition.
Le célèbre chimiste Antoine Lavoisier a dit un jour Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme. Si cette affirmation se vérifie en chimie, il en est tout autrement dans l’écosystème du Big Data.
Il est tentant de la paraphraser ainsi : Tout se crée, beaucoup (trop) se perd, tout peut se transformer. Encore faut-il disposer d’infrastructures appropriées, des outils de pointe fiables, performants et sécuritaires qui permettront de créer de la valeur enfouie dans cet amas de données.